+ DERNIERE SEMAINE DE TRAVAIL DE 2011 +

Nous avons passé la dernière semaine avant Noël à mettre en place nos vins dans nos chais: 

   vider nos barriques, les vins destinés à nos cuvées ont été mis dans des cuves en attendant une mise courant Janvier.

Barriques vidées

  Nos cuvées en cuve en attendant une mise courant janvier

 receptionner nos nouvelles barriques, nettoyer celles que nous réutilisons et  les  remplir avec le nouveau millésime 2011.

  Lavage des barriques ...

  ... à 90°.

  préparer nos Rosé et Clairet pour une mise cette première semaine de Janvier, de même pour nos Entre-Deux-Mers.  

 Dans les vignes nous avons bien avancé dans le taillage, et le tombage des bois suit bien. Fin Décembre, nous avons taillé partiquement la moitié du vignoble.

 Le mois de Novembre aux températures presque estivales (des aprés- midi à 17, 18°), a permis de bien travailler. Même si nous avons attendu désespérément LA PLUIE durant ce mois, normalement le plus pluvieux chez nous! Heureusement la fin décembre le fût, surement pas assez par rapport au déficit (qui date depuis 3 ans au moins), mais ...

Dernière commande expédiée, dernier problème de livraison réglé, nous avons pu fermer les chais pour une semaine. La trêve des confiseurs pour nous aussi! 

+ TRES BELLE ANNEE 2012 +

Nous vous adressons nos voeux les plus sincères pour cette nouvelle année.  

Quant à nous ne souhaitant pas être raisonnables, mais un peu fous, pleins d'enthousiasme,  nous voulons rêver d'un  monde plus juste aux valeurs vraies, à l'aube d'une prise de  conscience. Nous voulons y croire et oeuvrer à notre niveau, autour de nous, pour un Changement Possible.

Quelques phrases qui  ont marqué nos esprits ces derniers jours...

Le drame du monde moderne, c'est que l'indispensable n'est pas garanti et le superflu n'a pas de limite. Pierre Rabhi (lors d'un interview dans le SUD OUEST du 1ier Janvier)

Les peaux Rouges ne disent pas "la Terre nous appartient" mais ils disent "Nous appartenons à la Terre". Toujours Pierre Rabhi

Nous vivons dans un monde où il faut rassurer les marchés et gérer les enfants. Un lecteur de Telerama